Acrylique et pastels gras sur photo noir et blanc. 70x80cm
Miles Davis. Un ascenseur....
Vendu
Miles Davis. Un ascenseur....
Vendu
Humeur: Frustré.
Bande son: Le silence de la nuit.
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16 commentaires:
WOW! Fantastic new works here, but this Miles is so beautiful. I love it!
Un ascenseur ? Ca me fait plutôt penser à Jean-Pierre, We Want Miles !
pfiouuu !!!!!!! il est génial !
Ah, mais quelle plaisir! Merci Dad (hug, kiss). T'avais vraiment capté l'esprit de Miles.. ses mains forts, son esprit abstrait, les traits verts et jaunes de ton crayon pastel qui indiques les traits inouïs dans les compositions de Miles... Formidable cher Dad!
Mon dieu qu'il est beau! Mon préféré depuis longtemps!
Ouaih, je sais poulette, j'suis assez balaize comme mec...
C'est bien, vraiment bien, ça donne vraiment Juste comme ça, c'est normal la forme conique de son oreille ?
Heu... Bin... Ca doit être des coups de pastels vois-tu... J'sais pas trop où j'les donne, des fois...
Les gens y' pensent qu'on calcule tout...
Sans dec' moi ça me choque pas.Sinon, j'aurai fait quelque chose.
Ah oui tiens! J'avais pas fait gaffe à l'oreille. C'est un gobelin!!
MEEEEEEEEEEHEEUUUUUUUU !!!!
RRRAAAAAAAHHHH !!!!!
Ksé....Rgl....T..T..T..Gr...
RRRRAAAAAHHH...
Les gens y' pensent qu'on calcule tout...
héhé
Stunning work, DAD! I LOVE IT! BEAUTIFUL! Lots of energy and jazz!
uhhhhh.....superb Dad....simply amazing......:)
nous lève sont jajaj égal mais bon il essayera d'écrire en français, en résumé j'enchante votre travail
T'a fait ca sur une photo??
jaime bcp ya quelque chose qui fait kca pete bien, peut etre les coups de pastel comme ca
Jvisite ton blog une fois de plus ^^
Portait de String en l’hetta.
L’artiste réussit ici à exprimer l’introversion créatrice du génie musical de Miles Davis.
Hier, je m’ai fait des coquillettes avec du beurre et du gruyère.
La composition convainc par son traitement. C’était bien bon, mais j’avais pus d’gruyère.
Remarquez la tension du muscle de l’avant-bras Et je m’ai servi un verre de La Cuvée du Patron, à un euro vingt-cinq au supermarché. La facture se veut contemporaine bien que le traitement formel s’inscrive dans une ligne classique. Après, j’ai pris un yaourt avec de la confiture de fraise passequeu le yaourt y sentait le moisi. Les références sont multiples. ON songera à Kiki Picasso et à l’école Lyonnaise contemporaine. Cependant, l’artiste ne se contente pas de photos retouchée ou d’un traitement plastique impersonnel du sujet. Après, y me restait une pomme. J’aime pas les pommes. Et ce putain de clébard a commencé à me casser les couilles pour sortir. Les dominantes de bruns rougeâtres et de gris quasi métalliques, nous font ressentir avec prégnance la réalité du vécu de la scène et ses tensions sous-jacentes exprimant la quête spirituelle du trompettiste. Après je me suis gratté le cul en regardant par la fenêtre. Les veines saillent, le cœur, les muscles palpitent. Le trompettiste est habité par une fulgurance créatrice iconoclaste. Le peintre, sans doute influencé par le personnage autant que par l’œuvre, cadre le sujet dans un plan serré pour nous inviter à pénétrer l’univers de Miles. Putain, quel temps de merde ! Rompant avec ses portraits intimistes à l’aquarelle ou l’univers de ses musiciens de rocks traités comme des affiches, Stringhetta s’engage totalement dans ce portrait. Qu’est-ce qu’il a à me regarder ce connard ? Quoi, quéskya ? Tépajouasse ? Le peintre nous invite à communier avec la passion du maitre du jazz. Fait chier, putain de klebs ! Ta gueule ! Taaaaagueuleeeuuuuh ! Putain, il a pissé l’enculé !
Sringhetta aura sans conteste réalisé une de ses compositions les plus abouties dans le domaine du portrait d’artiste. Bravo l’artiste ! Enculé de clébard ! Tu vas… Viens ici ! Toi, tu vas ramasser ! Viens ici chteu dis !
Yvon passeulécéhammerdépardékritikalaconkanmémeuh.
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